Tu sais ce qui est fou ? La plupart des gens pensent qu’il faut être un génie de la sélection d’actions pour accumuler une vraie richesse. Spoiler : ce n’est pas le cas.
Faisons le calcul sur quelque chose d’ennuyeux mais terriblement efficace — simplement investir 1 000 $ dans un fonds indiciel S&P 500 chaque mois, puis l’oublier pendant 30 ans.
Les chiffres deviennent épicés
En supposant un rendement annuel modeste de 9,5 % (historiquement conservateur—le S&P a en moyenne 10,2 % depuis 1965), voici ce qui se passe :
5 ans : $60K investi → valeur finale de 72,5 K$
10 ans : $120K investi → valeur finale de 186,7 K$
20 ans : $240K investi → valeur finale de 649,5 K$
30 ans : $360K investi → 1,8 MILLION $
Oui, tu n’as investi que $360K ton propre argent. Le marché a fait le gros du travail.
Mais qu’en est-il des revenus de dividendes ?
C’est là que ça devient intéressant pour la planification de la retraite. Avec cette réserve de 1,8 M$ :
À un rendement actuel (1,2 %) : 21 600 $ par an en revenu passif. Bof.
À la moyenne historique (2,9 % de rendement en dividendes) : 52 200 $ par an en dividendes seulement. C’est un vrai revenu passif sans toucher à ton capital.
Le hic ? Le S&P d’aujourd’hui est gonflé par des géants de la tech qui versent à peine des dividendes. Autrefois, les rendements dépassaient régulièrement 3 %. Si on normalise, ton revenu annuel pourrait augmenter considérablement.
Le rebondissement
Warren Buffett l’a dit mieux que personne : “Vous n’avez pas besoin de faire des choses extraordinaires pour obtenir des résultats extraordinaires.” Ce n’est pas sexy. Pas de day trading. Pas de FOMO sur la crypto. Pas besoin d’analyser des bilans jusqu’à ce que vos yeux saignent.
Juste 1 000 $ par mois, chaque mois, pendant trois décennies. Mettez ça en mode automatique avec le réinvestissement des dividendes, et l’intérêt composé devient ton partenaire silencieux.
Une petite mise en garde : les retraités ne gardent pas 100 % en actions à la retraite. Tu finirais par passer aux obligations et aux instruments de revenu stable. Mais le principe de base reste le même — la monotonie l’emporte sur la brillance quand on a du temps devant soi.
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Mensuel $1K Dans le S&P 500 ? Voici votre bilan sur 30 ans
Tu sais ce qui est fou ? La plupart des gens pensent qu’il faut être un génie de la sélection d’actions pour accumuler une vraie richesse. Spoiler : ce n’est pas le cas.
Faisons le calcul sur quelque chose d’ennuyeux mais terriblement efficace — simplement investir 1 000 $ dans un fonds indiciel S&P 500 chaque mois, puis l’oublier pendant 30 ans.
Les chiffres deviennent épicés
En supposant un rendement annuel modeste de 9,5 % (historiquement conservateur—le S&P a en moyenne 10,2 % depuis 1965), voici ce qui se passe :
Oui, tu n’as investi que $360K ton propre argent. Le marché a fait le gros du travail.
Mais qu’en est-il des revenus de dividendes ?
C’est là que ça devient intéressant pour la planification de la retraite. Avec cette réserve de 1,8 M$ :
À un rendement actuel (1,2 %) : 21 600 $ par an en revenu passif. Bof.
À la moyenne historique (2,9 % de rendement en dividendes) : 52 200 $ par an en dividendes seulement. C’est un vrai revenu passif sans toucher à ton capital.
Le hic ? Le S&P d’aujourd’hui est gonflé par des géants de la tech qui versent à peine des dividendes. Autrefois, les rendements dépassaient régulièrement 3 %. Si on normalise, ton revenu annuel pourrait augmenter considérablement.
Le rebondissement
Warren Buffett l’a dit mieux que personne : “Vous n’avez pas besoin de faire des choses extraordinaires pour obtenir des résultats extraordinaires.” Ce n’est pas sexy. Pas de day trading. Pas de FOMO sur la crypto. Pas besoin d’analyser des bilans jusqu’à ce que vos yeux saignent.
Juste 1 000 $ par mois, chaque mois, pendant trois décennies. Mettez ça en mode automatique avec le réinvestissement des dividendes, et l’intérêt composé devient ton partenaire silencieux.
Une petite mise en garde : les retraités ne gardent pas 100 % en actions à la retraite. Tu finirais par passer aux obligations et aux instruments de revenu stable. Mais le principe de base reste le même — la monotonie l’emporte sur la brillance quand on a du temps devant soi.