Sujet du jour : "Sacrifice"

J'ai travaillé sur le marché des risques pendant plus de dix ans et j'ai découvert une règle : plus une personne est pauvre, plus elle perdra d'argent sur le marché, car elles ont un point commun : elles "ne peuvent pas se permettre d'attendre". Les riches ont des comptes bien garnis, de plusieurs centaines de milliers à plusieurs millions, et en profitant d'une vague de marché, gagner 10 % peut représenter des dizaines ou des centaines de milliers. Ils peuvent attendre tranquillement la prochaine opportunité. Les gens ordinaires, avec des fonds si limités, même avec une augmentation de 10 %, ne gagnent que quelques milliers, ce qui ne remplit pas les trous de leur vie. Ils se mettent donc à trader frénétiquement, cherchant des opportunités jour après jour, rêvant de richesse. Au final, plus ils essaient, plus ils perdent. En réalité, ce qui les détruit, ce n'est pas le marché, mais la pression de la vie et l'anxiété liée au trading. Leur monde du trading ressemble à un travail salarié : ils doivent trader chaque jour pour gagner leur vie. Pourtant, l'une des vérités du trading est que, comme dans un casino, plus vous jouez, plus vous perdez. D'autant plus que vous êtes vous-même un joueur, vous n'avez pas les conditions pour trader. En d'autres termes, vous n'avez pas la capacité de gagner de l'argent sur le marché des risques !
Ceux qui ont perdu tout leur argent sur le marché ont, à mon avis, un point commun : ils n'osent pas faire face à leurs pertes et espèrent contrecarrer les lois du marché par de la chance.
Je te dis, l'instant d'hésitation pour couper les pertes est le signal que la richesse s'en va ! Ne pas couper les pertes lors d'une rupture, c'est comme prendre son argent durement gagné pour nourrir des crocodiles, au final il ne restera même plus d'os.

Tout le monde doit regarder le cours en direct d'abonnement de samedi, même les anciens abonnés doivent regarder, c'est quelque chose qui n'a pas été abordé auparavant, en tout deux heures, il suffit de regarder la dernière heure.

Bon week-end, je souhaite à mes frères et sœurs de prospérer, à ce soir !