Récemment, La Réserve fédérale (FED) s'est retrouvée dans une situation délicate - ni osant resserrer, ni osant assouplir, ni osant agir légèrement. Cette indécision est devenue le déclencheur de fluctuations de marché sévères.
Pourquoi dire cela ? Parce que des données clés manquent. Le rapport sur l'emploi, les chiffres de l'inflation, les indicateurs de consommation, ces « tableaux de bord » sur lesquels La Réserve fédérale (FED) s'appuie pour prendre ses décisions sont soudainement devenus défaillants. Sans données à l'appui, ils sont comme un conducteur sans GPS : continuer à augmenter les taux d'intérêt de peur d'un atterrissage brutal de l'économie, ou relâcher les vannes par impulsion tout en craignant un retour de l'inflation, publier toute indication prospective pourrait devenir un sujet de critique.
Et le résultat ? Le marché n'attend plus que la Réserve fédérale donne des ordres et commence à établir lui-même le prix des actifs. Lorsque la logique de tarification passe de « basée sur les données » à « dominée par les émotions », la fluctuation a tendance à s'amplifier de 3 à 5 fois. C'est à la fois un risque et une opportunité.
À court terme, trois forces tirent furieusement le prix dans des directions opposées : premièrement, les attentes de liquidité se réchauffent, dès qu'un signal de relâchement apparaît, les actifs à risque rebondiront violemment ; deuxièmement, l'extrémisme émotionnel, la vente panique et le FOMO se produiront en alternance ; troisièmement, le repositionnement des fonds, les institutions profitent du désordre pour acquérir des jetons à bas prix. Les petits investisseurs votent avec leurs pieds pour fuir, mais l'argent intelligent achète avec de l'argent réel.
Alors la question se pose : qui pourra profiter au maximum de cette migration de richesse ? La réponse n'est pas de suivre ces tendances éphémères, mais de parier sur ceux qui portent réellement le nouveau système financier, à savoir les réseaux sous-jacents.
D'un point de vue, une blockchain publique est exactement coincée sur trois lignes principales de déterminisme :
Tout d'abord, il y a l'infrastructure de paiement mondial des stablecoins. Des géants comme Stripe et Visa sont déjà en train de promouvoir le règlement en USDC, ce qui nécessite des canaux on-chain efficaces.
Deuxièmement, il s'agit du noyau central des RWA (actifs réels sur la chaîne). Des institutions financières traditionnelles comme Franklin et UBS testent déjà le fonctionnement des actifs sur la chaîne avec de l'argent réel.
La troisième piste n'est pas encore terminée, mais ces deux points suffisent à illustrer le problème : lorsque l'incertitude devient la norme, la certitude est alors l'actif le plus rare.
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InfraVibes
· 11-05 15:54
Les investisseurs détaillants ont paniqué, les institutions tendent une embuscade dans l'ombre.
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UnluckyValidator
· 11-05 15:53
Encore en train de critiquer les petits investisseurs qui fuient ? Dès que je m'y engage, ça monte en flèche.
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ProbablyNothing
· 11-05 15:50
Les investisseurs détaillants ne doivent pas voler dans tous les sens, il suffit de s'accrocher à BTC.
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WalletInspector
· 11-05 15:34
Encore une fois, je suis en mode FOMO…
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BTCWaveRider
· 11-05 15:34
C'est encore le bon moment pour acheter à bas prix.
Récemment, La Réserve fédérale (FED) s'est retrouvée dans une situation délicate - ni osant resserrer, ni osant assouplir, ni osant agir légèrement. Cette indécision est devenue le déclencheur de fluctuations de marché sévères.
Pourquoi dire cela ? Parce que des données clés manquent. Le rapport sur l'emploi, les chiffres de l'inflation, les indicateurs de consommation, ces « tableaux de bord » sur lesquels La Réserve fédérale (FED) s'appuie pour prendre ses décisions sont soudainement devenus défaillants. Sans données à l'appui, ils sont comme un conducteur sans GPS : continuer à augmenter les taux d'intérêt de peur d'un atterrissage brutal de l'économie, ou relâcher les vannes par impulsion tout en craignant un retour de l'inflation, publier toute indication prospective pourrait devenir un sujet de critique.
Et le résultat ? Le marché n'attend plus que la Réserve fédérale donne des ordres et commence à établir lui-même le prix des actifs. Lorsque la logique de tarification passe de « basée sur les données » à « dominée par les émotions », la fluctuation a tendance à s'amplifier de 3 à 5 fois. C'est à la fois un risque et une opportunité.
À court terme, trois forces tirent furieusement le prix dans des directions opposées : premièrement, les attentes de liquidité se réchauffent, dès qu'un signal de relâchement apparaît, les actifs à risque rebondiront violemment ; deuxièmement, l'extrémisme émotionnel, la vente panique et le FOMO se produiront en alternance ; troisièmement, le repositionnement des fonds, les institutions profitent du désordre pour acquérir des jetons à bas prix. Les petits investisseurs votent avec leurs pieds pour fuir, mais l'argent intelligent achète avec de l'argent réel.
Alors la question se pose : qui pourra profiter au maximum de cette migration de richesse ? La réponse n'est pas de suivre ces tendances éphémères, mais de parier sur ceux qui portent réellement le nouveau système financier, à savoir les réseaux sous-jacents.
D'un point de vue, une blockchain publique est exactement coincée sur trois lignes principales de déterminisme :
Tout d'abord, il y a l'infrastructure de paiement mondial des stablecoins. Des géants comme Stripe et Visa sont déjà en train de promouvoir le règlement en USDC, ce qui nécessite des canaux on-chain efficaces.
Deuxièmement, il s'agit du noyau central des RWA (actifs réels sur la chaîne). Des institutions financières traditionnelles comme Franklin et UBS testent déjà le fonctionnement des actifs sur la chaîne avec de l'argent réel.
La troisième piste n'est pas encore terminée, mais ces deux points suffisent à illustrer le problème : lorsque l'incertitude devient la norme, la certitude est alors l'actif le plus rare.