En 2020, la Finance décentralisée s'est appuyée sur l'investisseur détaillant et la peur de rater (FOMO) pour faire surface, tandis que la piste des actifs du monde réel en 2025 est déjà devenue un jeu exclusif pour les institutions. Les dernières données sont les suivantes : la taille des actifs du monde réel sur une chaîne PoS a atteint 1,14 milliard de dollars, se classant troisième au monde, juste derrière Ethereum et un certain Consortium Blockchain.

Pourquoi les institutions financières traditionnelles ne choisissent-elles pas les L1 mainstream ou les L3 émergents, mais parient plutôt sur cette chaîne ? Trois actions techniques pour comprendre la logique —

La bifurcation dure de Bhilai a directement porté le TPS au-dessus de 1000, et pour les obligations d'État, il n'est plus nécessaire d'attendre la confirmation des blocs pour des règlements en grande quantité ; la mise à niveau de Rio a réduit de 70 % les exigences de configuration des nœuds, les institutions de garde conformes n'ont enfin plus à subir le bruit des machines à miner dans les centres de données ; AggLayer est encore plus audacieux, en séparant les trois niveaux d'émission, de liquidation et de règlement, les actifs institutionnels peuvent à la fois bénéficier de la garantie de sécurité d'Ethereum et éviter les frais de Gas impressionnants de L1.

Ainsi, le marché a réagi : Ondo a transféré sans effort son produit tokenisé d'obligations américaines OUSG ; bien que BENJI de Franklin Templeton soit déployé sur plusieurs chaînes, la liquidité ici est la plus profonde ; AlloyX lancera le fonds monétaire RYT en octobre, ouvrant directement le canal KYC bancaire.

Le calcul des institutions est en fait très clair : elles veulent de la vitesse, de la sécurité et la compatibilité avec la liquidité de l'écosystème Ethereum. Cette chaîne remplit exactement ces trois conditions. Ce qui est encore plus crucial,