Le retrait de fonds devrait être une opération des plus ordinaires.

Mais ces derniers mois, beaucoup de gens ont réalisé que ce n'était pas si simple.

Transférer des fonds de l'échange vers le portefeuille, puis les échanger contre des devises fiat via C2C - ce chemin était à l'origine très fluide, mais maintenant ? Ça bloque souvent. De plus en plus de gens parlent de situations où leurs cartes bancaires sont gelées.

Certaines personnes disent qu'il y a un problème de fonds en amont, d'autres pensent que la mise à niveau des contrôles de risque est trop stricte, et d'autres encore estiment que c'est simplement la zone grise de l'industrie qui se resserre.

Qui devrait être responsable de cette incertitude ? Les utilisateurs doivent-ils choisir les commerçants avec précaution ? La plateforme renforce son audit mais ne peut toujours pas empêcher cela ? Ou bien, le modèle C2C lui-même présente-t-il des risques structurels ?

Dans le monde de la cryptographie, la liberté financière a toujours été un récit central. Mais lorsque "le retrait" devient un obstacle, quelle est vraiment l'ampleur de cette liberté ?