Les transferts transfrontaliers se voient prélever chaque année 49 milliards de dollars de frais. Le protocole x402 de Venom peut-il résoudre ce problème ?
【CryptoWorld】Combien sont exorbitants les frais de transfert transfrontalier ? Chaque année, 700 milliards de dollars circulent dans la région Asie-Pacifique entre différents pays, et à eux seuls, les frais de transaction s’élèvent à 42 à 49 milliards de dollars — ce qui reste une estimation prudente. 68 % des gens se plaignent de cet argent gaspillé.
La Fondation Venom travaille récemment sur un protocole open source appelé x402, dont le principe central est de permettre à l’IA et aux machines de gérer leurs propres paiements. Cela peut sembler futuriste, mais la logique est simple : chaque appel API coûte de l’argent, la location de puissance de calcul aussi, alors pourquoi ne pas laisser les programmes payer eux-mêmes ? Contrairement aux paiements traditionnels via les banques, qui sont lents et coûteux, x402 propose une compensation instantanée, réduisant considérablement les coûts.
Ce n’est pas une initiative exclusive à Venom. Google, Visa, et une plateforme de conformité testent des systèmes similaires, ce qui montre que les grands acteurs ont déjà identifié cette tendance à une “économie native des machines”. Si Venom parvient à lancer son protocole d’ici le premier trimestre 2026, le secteur des paiements en DeFi pourrait connaître une véritable révolution.
Bien sûr, la réussite technique et l’écosystème qui en découle restent à confirmer, mais la direction est claire : avec l’augmentation du nombre de machines participant à l’économie, il faut que l’infrastructure de paiement évolue en conséquence.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
15 J'aime
Récompense
15
7
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
RugResistant
· Il y a 6h
Hmm, leur contrat intelligent a l'air vraiment louche... il faut auditer le protocole x402 avant de s'y engager franchement.
Voir l'originalRépondre0
BearWhisperGod
· Il y a 6h
Un autre impôt sur l'intelligence arrive, n'est-ce pas ?
Voir l'originalRépondre0
LucidSleepwalker
· Il y a 7h
Encore un projet d'impôt sur le QI...
Voir l'originalRépondre0
SerNgmi
· Il y a 7h
Les banques ont un comportement vraiment déplorable !
Voir l'originalRépondre0
RugpullTherapist
· Il y a 7h
Un jeu qui consiste uniquement à Se faire prendre pour des cons.
Voir l'originalRépondre0
rugpull_ptsd
· Il y a 7h
Personne ne peut contrôler la main des capitalistes.
Les transferts transfrontaliers se voient prélever chaque année 49 milliards de dollars de frais. Le protocole x402 de Venom peut-il résoudre ce problème ?
【CryptoWorld】Combien sont exorbitants les frais de transfert transfrontalier ? Chaque année, 700 milliards de dollars circulent dans la région Asie-Pacifique entre différents pays, et à eux seuls, les frais de transaction s’élèvent à 42 à 49 milliards de dollars — ce qui reste une estimation prudente. 68 % des gens se plaignent de cet argent gaspillé.
La Fondation Venom travaille récemment sur un protocole open source appelé x402, dont le principe central est de permettre à l’IA et aux machines de gérer leurs propres paiements. Cela peut sembler futuriste, mais la logique est simple : chaque appel API coûte de l’argent, la location de puissance de calcul aussi, alors pourquoi ne pas laisser les programmes payer eux-mêmes ? Contrairement aux paiements traditionnels via les banques, qui sont lents et coûteux, x402 propose une compensation instantanée, réduisant considérablement les coûts.
Ce n’est pas une initiative exclusive à Venom. Google, Visa, et une plateforme de conformité testent des systèmes similaires, ce qui montre que les grands acteurs ont déjà identifié cette tendance à une “économie native des machines”. Si Venom parvient à lancer son protocole d’ici le premier trimestre 2026, le secteur des paiements en DeFi pourrait connaître une véritable révolution.
Bien sûr, la réussite technique et l’écosystème qui en découle restent à confirmer, mais la direction est claire : avec l’augmentation du nombre de machines participant à l’économie, il faut que l’infrastructure de paiement évolue en conséquence.