Chaque cycle d'agrégation se termine de la même manière : celui qui possède l'exécution gagne.
Cette vérité a maintenant atteint la couche interface.
Orderflow n’appartient plus aux protocoles, il appartient aux portefeuilles. 1inch, CowSwap et Matcha ont prouvé que le routage crée la barrière, pas la liquidité.
La même logique est sur le point de définir l’économie des portefeuilles.
@rainbowdotme va déjà dans cette direction. Le Router n’est pas une amélioration de l’UX ; c’est un moteur de monétisation. Chaque swap dans le portefeuille, chaque pont ou route perpétuel est un flux possédé ; tarifé, compensé et réglé à l’intérieur de l’interface.
Cela change ce qui compte.
Les téléchargements sont du bruit. Les MAU sont de la vanité. Le vrai KPI, c’est le nombre de remplissages par utilisateur actif quotidien.
Car les remplissages mesurent la confiance, pas le trafic.
Un portefeuille qui route des milliards via sa propre infrastructure n’est plus une simple interface. C’est une couche de compensation avec une économie unitaire intégrée. L’exécution, et non l’exposition, devient la boucle de croissance.
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Comment les portefeuilles sont devenus les nouvelles places de marché
La liquidité définissait autrefois la compétition en DeFi. Aujourd’hui, c’est la densité d’orderflow ; combien d’exécution un portefeuille peut internaliser par utilisateur actif.
Le pouvoir de routage se compound plus rapidement que la distribution. Une fois que l’exécution vit à l’intérieur du portefeuille, chaque transaction alimente ses propres effets de réseau :
Plus de remplissages → pool de remises plus élevé → liquidité plus profonde → cotations plus serrées → encore plus de remplissages.
C’est un système auto-renforçant ; celui qui transforme l’UX en infrastructure.
Le Router de Rainbow, le moteur d’intention de Phantom, même les portefeuilles intégrés à Base comme Elsa convergent vers ce modèle. Le portefeuille devient la surface par défaut du trader, pas le point de transfert.
Il ne s’agit plus de savoir qui agrège le mieux. Il s’agit de savoir qui compense le plus efficacement.
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Pourquoi la propriété de l’orderflow redéfinira la DeFi
La propriété de l’orderflow définira la prochaine ère de l’UX en DeFi. Le portefeuille qui compense le plus de transactions par utilisateur ne rivalise pas pour l’attention, il façonne la structure du marché.
Le prochain cycle haussier ne couronnera pas de nouveaux protocoles. Il couronnera de nouvelles interfaces. Et le seul chiffre qui comptera, c’est celui-ci : le nombre de remplissages par utilisateur actif.
Car en fin de compte, la liquidité suit l’exécution. Et l’exécution appartient à l’interface.
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Chaque cycle d'agrégation se termine de la même manière : celui qui possède l'exécution gagne.
Cette vérité a maintenant atteint la couche interface.
Orderflow n’appartient plus aux protocoles, il appartient aux portefeuilles.
1inch, CowSwap et Matcha ont prouvé que le routage crée la barrière, pas la liquidité.
La même logique est sur le point de définir l’économie des portefeuilles.
@rainbowdotme va déjà dans cette direction. Le Router n’est pas une amélioration de l’UX ; c’est un moteur de monétisation. Chaque swap dans le portefeuille, chaque pont ou route perpétuel est un flux possédé ; tarifé, compensé et réglé à l’intérieur de l’interface.
Cela change ce qui compte.
Les téléchargements sont du bruit. Les MAU sont de la vanité.
Le vrai KPI, c’est le nombre de remplissages par utilisateur actif quotidien.
Car les remplissages mesurent la confiance, pas le trafic.
Un portefeuille qui route des milliards via sa propre infrastructure n’est plus une simple interface. C’est une couche de compensation avec une économie unitaire intégrée. L’exécution, et non l’exposition, devient la boucle de croissance.
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Comment les portefeuilles sont devenus les nouvelles places de marché
La liquidité définissait autrefois la compétition en DeFi.
Aujourd’hui, c’est la densité d’orderflow ; combien d’exécution un portefeuille peut internaliser par utilisateur actif.
Le pouvoir de routage se compound plus rapidement que la distribution. Une fois que l’exécution vit à l’intérieur du portefeuille, chaque transaction alimente ses propres effets de réseau :
Plus de remplissages → pool de remises plus élevé → liquidité plus profonde → cotations plus serrées → encore plus de remplissages.
C’est un système auto-renforçant ; celui qui transforme l’UX en infrastructure.
Le Router de Rainbow, le moteur d’intention de Phantom, même les portefeuilles intégrés à Base comme Elsa convergent vers ce modèle. Le portefeuille devient la surface par défaut du trader, pas le point de transfert.
Il ne s’agit plus de savoir qui agrège le mieux.
Il s’agit de savoir qui compense le plus efficacement.
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Pourquoi la propriété de l’orderflow redéfinira la DeFi
La propriété de l’orderflow définira la prochaine ère de l’UX en DeFi.
Le portefeuille qui compense le plus de transactions par utilisateur ne rivalise pas pour l’attention, il façonne la structure du marché.
Le prochain cycle haussier ne couronnera pas de nouveaux protocoles. Il couronnera de nouvelles interfaces.
Et le seul chiffre qui comptera, c’est celui-ci : le nombre de remplissages par utilisateur actif.
Car en fin de compte, la liquidité suit l’exécution.
Et l’exécution appartient à l’interface.