L’affaire SBF fait monter la tension—le New York Times vient de riposter à l’ordonnance de silence du tribunal, et ils ne reculent pas.
Voici ce qui s’est passé : les avocats de SBF ont tenté de museler la couverture médiatique après que le Times ait publié les journaux privés de Caroline Ellison, révélant sa relation avec l’ancien PDG de FTX. La poursuite a affirmé qu’il s’agissait d’intimidation des témoins. Mais l’équipe juridique du Times a riposté vigoureusement, arguant que le public a un « intérêt légitime » à connaître l’identité d’Ellison—d’autant plus qu’elle a admis être une actrice centrale dans une fraude de plusieurs milliards de dollars qui a échappé aux régulateurs.
L’argument clé de David McCraw, vice-président du NY Times ? Le public mérite de connaître le contexte. « Elle a avoué avoir fraudé des investisseurs », a-t-il écrit. « Il n’est pas surprenant que le public veuille des réponses. »
Les enjeux sont importants :
SBF risque de voir son $250M liberté de mouvement révoquée par les procureurs
Il est déjà interdit d’utiliser des applications de messagerie et des VPN
Deux procès prévus en octobre 2023 et mars 2024
Il reste 12 chefs d’accusation criminels (la charge de financement de campagne a été abandonnée en raison des conditions d’extradition )
Cela crée un précédent majeur pour les affaires de crypto : les tribunaux peuvent-ils réellement faire taire la presse lorsque la fraude atteint une telle ampleur ? Le Times mise sur la victoire du Premier Amendement. Bankman-Fried, lui, parie que non.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Le blackout médiatique de SBF se retourne contre lui : le New York Times remporte la bataille pour le Premier Amendement
L’affaire SBF fait monter la tension—le New York Times vient de riposter à l’ordonnance de silence du tribunal, et ils ne reculent pas.
Voici ce qui s’est passé : les avocats de SBF ont tenté de museler la couverture médiatique après que le Times ait publié les journaux privés de Caroline Ellison, révélant sa relation avec l’ancien PDG de FTX. La poursuite a affirmé qu’il s’agissait d’intimidation des témoins. Mais l’équipe juridique du Times a riposté vigoureusement, arguant que le public a un « intérêt légitime » à connaître l’identité d’Ellison—d’autant plus qu’elle a admis être une actrice centrale dans une fraude de plusieurs milliards de dollars qui a échappé aux régulateurs.
L’argument clé de David McCraw, vice-président du NY Times ? Le public mérite de connaître le contexte. « Elle a avoué avoir fraudé des investisseurs », a-t-il écrit. « Il n’est pas surprenant que le public veuille des réponses. »
Les enjeux sont importants :
Cela crée un précédent majeur pour les affaires de crypto : les tribunaux peuvent-ils réellement faire taire la presse lorsque la fraude atteint une telle ampleur ? Le Times mise sur la victoire du Premier Amendement. Bankman-Fried, lui, parie que non.