Récemment, tout le monde se pose la même question : faut-il maintenant partir ?
Les surveillances on-chain montrent qu’un groupe de vieux investisseurs, détenant leurs tokens depuis plus de cinq ans, commence à liquider leurs positions, avec un volume total dépassant les 40 milliards de dollars. Dès que cette information a circulé, les discussions dans les groupes ont explosé — certains criant à la « perte de foi », d’autres calculant déjà leur prix de sauvegarde, et les traders à terme revenant à leur état d’avant.
L’émotion de panique se répand effectivement. Mais en regardant les données avec calme, l’histoire pourrait être un peu plus complexe.
Un vieux de sept ou huit ans a dit une fois : ce marché est essentiellement une compétition de classement, où le prix reflète différents niveaux de joueurs. Lorsqu’il atteint 100 000 dollars, les institutions entrent en masse, les gros investisseurs commencent à accumuler, et quand il chute à 80 000, les investisseurs ordinaires pensent « c’est le moment d’acheter à bas prix »… Même si le prix chute à un centime, certains pensent toujours « c’est une bonne affaire ».
Tant qu’il y aura des gens qui croient en cet actif, il ne deviendra pas vraiment nul.
Regardons aussi les chiffres concrets : le prix actuel du BTC est de 102 392 dollars, la capitalisation totale reste stable à 2,04 trillions de dollars, et le volume de transactions des dernières 24 heures est de 58,8 milliards — une capacité suffisante pour absorber la majorité des pressions de vente. En regardant l’historique, on constate qu’après chaque « fuite des baleines », le marché trouve toujours un nouvel équilibre.
Il y a effectivement des ventes, mais il existe aussi des acheteurs réels. Le marché n’est jamais une chute unilatérale, mais un jeu d’acteurs à différents niveaux de prix. La question n’est pas « va-t-il devenir zéro », mais « à quel prix êtes-vous prêt à attendre ».
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Récemment, tout le monde se pose la même question : faut-il maintenant partir ?
Les surveillances on-chain montrent qu’un groupe de vieux investisseurs, détenant leurs tokens depuis plus de cinq ans, commence à liquider leurs positions, avec un volume total dépassant les 40 milliards de dollars. Dès que cette information a circulé, les discussions dans les groupes ont explosé — certains criant à la « perte de foi », d’autres calculant déjà leur prix de sauvegarde, et les traders à terme revenant à leur état d’avant.
L’émotion de panique se répand effectivement. Mais en regardant les données avec calme, l’histoire pourrait être un peu plus complexe.
Un vieux de sept ou huit ans a dit une fois : ce marché est essentiellement une compétition de classement, où le prix reflète différents niveaux de joueurs. Lorsqu’il atteint 100 000 dollars, les institutions entrent en masse, les gros investisseurs commencent à accumuler, et quand il chute à 80 000, les investisseurs ordinaires pensent « c’est le moment d’acheter à bas prix »… Même si le prix chute à un centime, certains pensent toujours « c’est une bonne affaire ».
Tant qu’il y aura des gens qui croient en cet actif, il ne deviendra pas vraiment nul.
Regardons aussi les chiffres concrets : le prix actuel du BTC est de 102 392 dollars, la capitalisation totale reste stable à 2,04 trillions de dollars, et le volume de transactions des dernières 24 heures est de 58,8 milliards — une capacité suffisante pour absorber la majorité des pressions de vente. En regardant l’historique, on constate qu’après chaque « fuite des baleines », le marché trouve toujours un nouvel équilibre.
Il y a effectivement des ventes, mais il existe aussi des acheteurs réels. Le marché n’est jamais une chute unilatérale, mais un jeu d’acteurs à différents niveaux de prix. La question n’est pas « va-t-il devenir zéro », mais « à quel prix êtes-vous prêt à attendre ».