Alors voici quelque chose de fou. La rumeur dit que les régulateurs de l'UE envisagent réellement de mettre sur pause certaines parties de leur nouvelle loi sur l'IA. Ouais, cette législation emblématique que tout le monde surveille ? Pourrait être mise de côté—du moins partiellement.
Pourquoi ce soudain changement d'avis ? Deux mots : campagne de pression.
Apparemment, des poids lourds venus de l'autre côté de l'Atlantique et certaines entreprises technologiques aux poches bien pleines ont intensifié la pression. L'argument ? Ces règles pourraient freiner l'innovation. Étouffer la concurrence. Vous savez, les suspects habituels en matière de résistance à la régulation.
Ce qui rend cela intéressant, c'est le timing. La Loi sur l'IA devait être le grand mouvement de l'Europe—établissant la norme mondiale pour la gouvernance de l'intelligence artificielle. Un plan directeur réglementaire, si vous voulez. Mais maintenant, avec la résistance croissante tant des intérêts américains que des acteurs majeurs de l'écosystème technologique, Bruxelles semble reconsidérer son approche.
Voici le problème : ce n'est pas seulement une question de modèles d'IA ou de chatbots. Il s'agit de savoir qui a le droit d'écrire les règles pour les technologies émergentes. Et en ce moment, cela ressemble à une véritable lutte entre la prudence réglementaire et l'ambition commerciale.
Quelle est l'implication plus large ? Si l'UE fléchit ici, cela pourrait signaler un changement dans la manière dont les gouvernements poursuivent la supervision technologique. Cela compte pour tout, des infrastructures blockchain à la transparence algorithmique—en gros, tout l'avenir décentralisé dont nous parlons sans cesse.
Restez à l'écoute. Ce n'est pas encore fini.
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Anon32942
· Il y a 10h
La puissance du capital est vraiment grande, même l'Union européenne ne peut pas résister.
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MondayYoloFridayCry
· Il y a 10h
Encore une fois, le grand capital fait des siennes. Ont-ils si peur d'être contrôlés ?
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SchrodingersFOMO
· Il y a 10h
Ce n'est pas juste que le capital a gagné.
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MemeCoinSavant
· Il y a 10h
Selon mon analyse mémetique, la FUD réglementaire de l'UE vient d'atteindre, franchement, son niveau maximal de déni.
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RealYieldWizard
· Il y a 10h
Devant le capital, la régulation n'est qu'une blague.
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BackrowObserver
· Il y a 10h
On joue avec les régulations, c'est un vieux stratagème.
Alors voici quelque chose de fou. La rumeur dit que les régulateurs de l'UE envisagent réellement de mettre sur pause certaines parties de leur nouvelle loi sur l'IA. Ouais, cette législation emblématique que tout le monde surveille ? Pourrait être mise de côté—du moins partiellement.
Pourquoi ce soudain changement d'avis ? Deux mots : campagne de pression.
Apparemment, des poids lourds venus de l'autre côté de l'Atlantique et certaines entreprises technologiques aux poches bien pleines ont intensifié la pression. L'argument ? Ces règles pourraient freiner l'innovation. Étouffer la concurrence. Vous savez, les suspects habituels en matière de résistance à la régulation.
Ce qui rend cela intéressant, c'est le timing. La Loi sur l'IA devait être le grand mouvement de l'Europe—établissant la norme mondiale pour la gouvernance de l'intelligence artificielle. Un plan directeur réglementaire, si vous voulez. Mais maintenant, avec la résistance croissante tant des intérêts américains que des acteurs majeurs de l'écosystème technologique, Bruxelles semble reconsidérer son approche.
Voici le problème : ce n'est pas seulement une question de modèles d'IA ou de chatbots. Il s'agit de savoir qui a le droit d'écrire les règles pour les technologies émergentes. Et en ce moment, cela ressemble à une véritable lutte entre la prudence réglementaire et l'ambition commerciale.
Quelle est l'implication plus large ? Si l'UE fléchit ici, cela pourrait signaler un changement dans la manière dont les gouvernements poursuivent la supervision technologique. Cela compte pour tout, des infrastructures blockchain à la transparence algorithmique—en gros, tout l'avenir décentralisé dont nous parlons sans cesse.
Restez à l'écoute. Ce n'est pas encore fini.