La “modération” de Dalio et la “avidité” de Soros : les meilleures philosophies pour la sortie et l’investissement Un athlète a dit : « Dans les super-marathons, c’est souvent celui qui réduit le moins sa vitesse qui gagne. »
Le principe derrière cela est :
1、En physique, “ralentir” signifie une perte d’énergie cinétique. Comme en conduite, freiner brusquement puis redémarrer consomme souvent plus de carburant.
2、Du point de vue mathématique, c’est une traînée par la volatilité. Des retracements importants réduisent gravement le rendement composé. « Ralentir le moins » consiste à rechercher une volatilité extrêmement faible.
3、En termes de compétition, la stabilité peut mettre la pression psychologique sur l’adversaire.
Ainsi, maintenir la continuité du système est plus puissant que de rechercher une explosion instantanée.
La plus célèbre dans ce domaine est la “règle des 20 miles” : lors d’une expédition en Antarctique, Amundsen insistait pour marcher 20 miles par jour, avançant moins par mauvais temps, plus par mauvais temps, et a finalement remporté le duel de vie ou de mort.
Cependant, le prix Nobel Seller a une opinion inverse.
Il a découvert que de nombreux chauffeurs de taxi à New York insistent sur un “revenu quotidien fixe” : même par bon temps, ils rentrent tôt une fois qu’ils ont assez gagné ; par mauvais temps, ils persistent à travailler davantage.
Seller dit : “C’est inversé ! La stratégie rationnelle est : en cas de pluie, il y a plus de clients, il faut travailler plus ; en mauvais jour sans affaires, il vaut mieux rentrer plus tôt chez soi.”
Dans un monde non linéaire avec une distribution inégale, lorsque de grandes opportunités apparaissent, vous devriez accélérer ; alors qu’en périodes de pauvreté, ne pas ralentir serait une perte.
Est-ce contradictoire ? Non, c’est essentiellement une différence entre l’environnement et l’objectif :
a、Amundsen recherche une course linéaire “sans rupture” ; b、Seller met en avant un champ d’opportunités non linéaire visant “l’optimisation des gains”.
Amundsen est adapté aux projets linéaires basés sur l’endurance (comme la musculation, la lecture, l’entrepreneuriat), visant la continuité ;
Seller convient aux domaines à distribution inégale (comme l’investissement, l’entrepreneuriat), où en période difficile il faut en faire moins, en période favorable il faut foncer. Warren Buffett a aussi dit : “Quand vous n’avez rien à faire, le mieux est de ne rien faire !” Soros pense aussi que lorsqu’une bonne opportunité se présente, il faut tout miser.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
La “modération” de Dalio et la “avidité” de Soros : les meilleures philosophies pour la sortie et l’investissement Un athlète a dit : « Dans les super-marathons, c’est souvent celui qui réduit le moins sa vitesse qui gagne. »
Le principe derrière cela est :
1、En physique, “ralentir” signifie une perte d’énergie cinétique. Comme en conduite, freiner brusquement puis redémarrer consomme souvent plus de carburant.
2、Du point de vue mathématique, c’est une traînée par la volatilité. Des retracements importants réduisent gravement le rendement composé. « Ralentir le moins » consiste à rechercher une volatilité extrêmement faible.
3、En termes de compétition, la stabilité peut mettre la pression psychologique sur l’adversaire.
Ainsi, maintenir la continuité du système est plus puissant que de rechercher une explosion instantanée.
La plus célèbre dans ce domaine est la “règle des 20 miles” : lors d’une expédition en Antarctique, Amundsen insistait pour marcher 20 miles par jour, avançant moins par mauvais temps, plus par mauvais temps, et a finalement remporté le duel de vie ou de mort.
Cependant, le prix Nobel Seller a une opinion inverse.
Il a découvert que de nombreux chauffeurs de taxi à New York insistent sur un “revenu quotidien fixe” : même par bon temps, ils rentrent tôt une fois qu’ils ont assez gagné ; par mauvais temps, ils persistent à travailler davantage.
Seller dit : “C’est inversé ! La stratégie rationnelle est : en cas de pluie, il y a plus de clients, il faut travailler plus ; en mauvais jour sans affaires, il vaut mieux rentrer plus tôt chez soi.”
Dans un monde non linéaire avec une distribution inégale, lorsque de grandes opportunités apparaissent, vous devriez accélérer ; alors qu’en périodes de pauvreté, ne pas ralentir serait une perte.
Est-ce contradictoire ? Non, c’est essentiellement une différence entre l’environnement et l’objectif :
a、Amundsen recherche une course linéaire “sans rupture” ;
b、Seller met en avant un champ d’opportunités non linéaire visant “l’optimisation des gains”.
Amundsen est adapté aux projets linéaires basés sur l’endurance (comme la musculation, la lecture, l’entrepreneuriat), visant la continuité ;
Seller convient aux domaines à distribution inégale (comme l’investissement, l’entrepreneuriat), où en période difficile il faut en faire moins, en période favorable il faut foncer. Warren Buffett a aussi dit : “Quand vous n’avez rien à faire, le mieux est de ne rien faire !” Soros pense aussi que lorsqu’une bonne opportunité se présente, il faut tout miser.