#资产代币化 En voyant JPMorgan réaliser l’émission et le règlement d’un billet à ordre de 50 millions de dollars sur Solana, je me suis rappelé une chose très importante : la tokenisation des actifs n’est plus une tendance future, c’est une réalité présente.
Mais il faut prendre le temps de réfléchir calmement. Les données sont impressionnantes — le volume de transactions en stablecoins a atteint 46 000 milliards de dollars l’année dernière, soit 20 fois celui de PayPal, et près de 3 fois celui de Visa. Les institutions financières traditionnelles entrent en scène, et il semble que les opportunités soient partout. Pourtant, c’est précisément à ces moments-là qu’il faut se rappeler de rester rationnel.
La tokenisation ouvre de nouvelles portes, c’est vrai. Mais là où il y a de grandes opportunités, il y a aussi souvent de grands risques. J’ai observé que beaucoup de gens, voyant l’engagement des institutions, ne peuvent s’empêcher de suivre le mouvement et de miser rapidement. Ce que je veux dire, c’est que : ce que font les institutions, c’est construire des infrastructures, ce n’est pas un conseil d’investissement. Leur capacité à supporter le risque, leur profondeur d’étude, leur cycle de détention ne sont pas les mêmes que les nôtres.
Pour nous, investisseurs, il faut se demander : dans la vague de la tokenisation des actifs, notre allocation de portefeuille est-elle encore suffisamment prudente ? En poursuivant de nouveaux concepts, avons-nous brisé nos limites de risque ? Sur le long terme, cette orientation mérite effectivement d’être suivie, mais la question clé est : avec combien de fonds sommes-nous prêts à accepter cette incertitude — la réponse varie selon chacun.
Prenez un moment pour faire une pause, examiner votre allocation d’actifs, et vous assurer que la proportion d’actifs innovants reste dans une fourchette contrôlable. La prudence ne consiste jamais à manquer une opportunité, mais à participer en ayant conscience de ce que l’on fait.
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#资产代币化 En voyant JPMorgan réaliser l’émission et le règlement d’un billet à ordre de 50 millions de dollars sur Solana, je me suis rappelé une chose très importante : la tokenisation des actifs n’est plus une tendance future, c’est une réalité présente.
Mais il faut prendre le temps de réfléchir calmement. Les données sont impressionnantes — le volume de transactions en stablecoins a atteint 46 000 milliards de dollars l’année dernière, soit 20 fois celui de PayPal, et près de 3 fois celui de Visa. Les institutions financières traditionnelles entrent en scène, et il semble que les opportunités soient partout. Pourtant, c’est précisément à ces moments-là qu’il faut se rappeler de rester rationnel.
La tokenisation ouvre de nouvelles portes, c’est vrai. Mais là où il y a de grandes opportunités, il y a aussi souvent de grands risques. J’ai observé que beaucoup de gens, voyant l’engagement des institutions, ne peuvent s’empêcher de suivre le mouvement et de miser rapidement. Ce que je veux dire, c’est que : ce que font les institutions, c’est construire des infrastructures, ce n’est pas un conseil d’investissement. Leur capacité à supporter le risque, leur profondeur d’étude, leur cycle de détention ne sont pas les mêmes que les nôtres.
Pour nous, investisseurs, il faut se demander : dans la vague de la tokenisation des actifs, notre allocation de portefeuille est-elle encore suffisamment prudente ? En poursuivant de nouveaux concepts, avons-nous brisé nos limites de risque ? Sur le long terme, cette orientation mérite effectivement d’être suivie, mais la question clé est : avec combien de fonds sommes-nous prêts à accepter cette incertitude — la réponse varie selon chacun.
Prenez un moment pour faire une pause, examiner votre allocation d’actifs, et vous assurer que la proportion d’actifs innovants reste dans une fourchette contrôlable. La prudence ne consiste jamais à manquer une opportunité, mais à participer en ayant conscience de ce que l’on fait.