Récemment, en discutant avec plusieurs amis du cercle d'investissement, nous avons tous abordé le même sujet : l'impact des changements de politiques de subventions sur le marché. J'ai également rassemblé certaines de mes observations pour les partager avec vous.
**Quand la baisse des subventions sera-t-elle la plus critique ?**
Honnêtement, le premier trimestre de l'année prochaine sera un véritable test. La politique de subventions cette année a soutenu principalement le segment des prix moyen et bas, ce qui a directement épuisé une partie du pouvoir d'achat. L'année prochaine, cette capacité d'achat disparaîtra, et la pression sur le marché sera évidente. La réaction du marché secondaire est déjà très visible, avec une correction assez significative des cours des actions dans le secteur automobile, et tout le monde observe en ce moment. Après avoir discuté avec plusieurs chercheurs, pour être honnête, ils ne sont pas très optimistes, mais dans cette prévision pessimiste, il pourrait y avoir des opportunités. L'essentiel est de continuer à suivre l'évolution des politiques et des données de vente.
**Les subventions disparaîtront-elles vraiment l'année prochaine ?**
Elles ne disparaîtront pas directement. Le cadre de soutien par les obligations à très long terme est toujours en place, et les subventions ne tomberont pas soudainement comme une falaise. Mais je pense que l'accent sera forcément ajusté. C'est facile à comprendre — le taux de pénétration du marché des véhicules complets a déjà dépassé 50 %, il n'est donc plus aussi nécessaire d'utiliser des subventions pour stimuler les ventes. Les subventions futures seront probablement davantage axées sur la qualité des produits, l'innovation technologique, la construction de la marque, plutôt que sur la quantité en tant que telle.
**Comment le marché va-t-il évoluer ?**
C'est une question complexe. D'une part, le marché fait effectivement face à une pression de ralentissement de la croissance ; d'autre part, la compétition dans l'industrie évolue rapidement, et la vitesse d'itération des produits s'accélère. Pour les investisseurs, cette période nécessite une analyse plus fine — quelles entreprises peuvent maintenir leur compétitivité dans un environnement de retrait des subventions, et lesquelles dépendent encore de ces aides.
Je pense que la véritable opportunité d'investissement ne réside pas dans le pessimisme lui-même, mais dans la capacité à trouver de la certitude dans le changement. Bien que la réduction des subventions semble créer une pression, pour les entreprises ayant une véritable force de produit et une forte identité de marque, cela pourrait en réalité représenter une opportunité — la politique ne distribue plus uniformément des subventions, et le marché reflétera plus fidèlement la valeur réelle des produits.
Donc, la question de savoir si le secteur des véhicules complets s'améliorera en 2026 dépendra surtout de la façon dont les acteurs du secteur réagiront. La pression à court terme est prévisible, mais la logique à long terme nécessite une observation continue.
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PhantomMiner
· Il y a 21h
Il faut vraiment faire attention au premier trimestre de l'année prochaine, cette gamme moyenne et basse est vraiment fortement sollicitée. Mais pour en revenir à ce que je disais, dans les prévisions pessimistes, ceux qui cherchent à faire fortune sont des personnes déterminées, je suis d'accord pour continuer à suivre l'évolution des politiques.
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SmartMoneyWallet
· Il y a 21h
C'est n'importe quoi, la direction des flux de fonds suite à la réduction des subventions peut déjà être vue dans la distribution des jetons, ces chercheurs sont encore en train de réagir tardivement.
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RektDetective
· Il y a 21h
Il faut vraiment surveiller le Q1 de l'année prochaine, dès que les subventions se réduisent, chaque acteur révèle sa véritable nature.
Ceux qui vivent uniquement de subventions sont condamnés, ceux qui ont vraiment des produits solides sont ceux qui vont décoller.
Chercher des opportunités dans des prévisions pessimistes, c'est facile à dire, mais peu de gens passent réellement à l'action.
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ProveMyZK
· Il y a 21h
Le premier trimestre de l'année prochaine sera vraiment difficile, les subventions sont comme une injection d'adrénaline, dès qu'elles s'arrêtent, il faut saigner.
Les entreprises qui vivent grâce aux subventions sont vraiment paniquées, le marché va faire un tri impitoyable.
Attendez, si on inverse cette logique, les entreprises avec une vraie force pourraient en fait décoller ?
Réduction des subventions = marché plus authentique, j'approuve cette idée.
Le premier trimestre révélera la vérité, j'attends que le grand spectacle commence.
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UnluckyMiner
· Il y a 21h
Il faut vraiment surveiller le premier trimestre, la réduction des subventions n'est pas une petite affaire.
La vague de restructuration prévue pour l'année prochaine semble arriver, voyons qui a vraiment du produit.
Tout le monde a raison, mais la clé c'est d'attendre que les données sortent pour le savoir.
Ceux qui vivent grâce aux subventions doivent s'inquiéter, une ère de changements radicaux est arrivée.
Je ne comprends pas très bien cette logique, la innovation en qualité peut-elle vraiment prendre le dessus ?
À court terme, ce sera sûrement difficile, mais il y a aussi des opportunités dans le chaos.
Les actions automobiles ont beaucoup chuté ces deux derniers jours, on dirait que le fond n'est pas encore là.
Chercher des opportunités dans le pessimisme, c'est facile à dire, mais quand il faut vraiment agir, on se rend compte que c'est difficile.
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NotFinancialAdviser
· Il y a 22h
L'année prochaine, au premier trimestre, ça va vraiment être une pluie de sang et de vent, avec ces subventions, on en donne un peu ou pas du tout.
Ceux qui vivent grâce aux subventions... attendez-vous à être éliminés, il n'y a rien à dire.
Le taux de pénétration dépasse 50 % et ils continuent à accumuler des subventions, ce n'est pas comme boire du poison pour étancher sa soif.
Qu'on parle de la force du produit ou de la force de la marque, ce qui compte, c'est qui pourra survivre jusqu'au moment où la politique changera.
Je suis fatigué d'entendre parler de l'observation des données, autant parier directement sur un ou deux acteurs majeurs.
Récemment, en discutant avec plusieurs amis du cercle d'investissement, nous avons tous abordé le même sujet : l'impact des changements de politiques de subventions sur le marché. J'ai également rassemblé certaines de mes observations pour les partager avec vous.
**Quand la baisse des subventions sera-t-elle la plus critique ?**
Honnêtement, le premier trimestre de l'année prochaine sera un véritable test. La politique de subventions cette année a soutenu principalement le segment des prix moyen et bas, ce qui a directement épuisé une partie du pouvoir d'achat. L'année prochaine, cette capacité d'achat disparaîtra, et la pression sur le marché sera évidente. La réaction du marché secondaire est déjà très visible, avec une correction assez significative des cours des actions dans le secteur automobile, et tout le monde observe en ce moment. Après avoir discuté avec plusieurs chercheurs, pour être honnête, ils ne sont pas très optimistes, mais dans cette prévision pessimiste, il pourrait y avoir des opportunités. L'essentiel est de continuer à suivre l'évolution des politiques et des données de vente.
**Les subventions disparaîtront-elles vraiment l'année prochaine ?**
Elles ne disparaîtront pas directement. Le cadre de soutien par les obligations à très long terme est toujours en place, et les subventions ne tomberont pas soudainement comme une falaise. Mais je pense que l'accent sera forcément ajusté. C'est facile à comprendre — le taux de pénétration du marché des véhicules complets a déjà dépassé 50 %, il n'est donc plus aussi nécessaire d'utiliser des subventions pour stimuler les ventes. Les subventions futures seront probablement davantage axées sur la qualité des produits, l'innovation technologique, la construction de la marque, plutôt que sur la quantité en tant que telle.
**Comment le marché va-t-il évoluer ?**
C'est une question complexe. D'une part, le marché fait effectivement face à une pression de ralentissement de la croissance ; d'autre part, la compétition dans l'industrie évolue rapidement, et la vitesse d'itération des produits s'accélère. Pour les investisseurs, cette période nécessite une analyse plus fine — quelles entreprises peuvent maintenir leur compétitivité dans un environnement de retrait des subventions, et lesquelles dépendent encore de ces aides.
Je pense que la véritable opportunité d'investissement ne réside pas dans le pessimisme lui-même, mais dans la capacité à trouver de la certitude dans le changement. Bien que la réduction des subventions semble créer une pression, pour les entreprises ayant une véritable force de produit et une forte identité de marque, cela pourrait en réalité représenter une opportunité — la politique ne distribue plus uniformément des subventions, et le marché reflétera plus fidèlement la valeur réelle des produits.
Donc, la question de savoir si le secteur des véhicules complets s'améliorera en 2026 dépendra surtout de la façon dont les acteurs du secteur réagiront. La pression à court terme est prévisible, mais la logique à long terme nécessite une observation continue.