Plutôt que de dire que le Bitcoin est un "coffre-fort médiéval" contenant des centaines de billions d'actifs mais fermé à clé, il serait plus juste de dire que la véritable libération de sa valeur n'a pas encore commencé. À l'instant critique de l'explosion de BTCFi en 2025, l'apparition d'APRO n'est pas simplement un microphone, mais une "système de conduction nerveuse" conçu pour ce coffre-fort endormi.

Beaucoup de gens ont encore une compréhension très basique des oracles — pouvoir simplement alimenter le prix du Bitcoin dans Layer2 est considéré comme suffisant. Mais ce n'est plus l'époque. En regardant attentivement la barrière construite par APRO, vous constaterez que sa puissance ne réside pas tant dans la précision des données, mais dans la compréhension approfondie de la logique sous-jacente du Bitcoin.

**Percée technologique : du "traducteur" au "validateur de sécurité"**

Les oracles basés sur Ethereum qui tentaient d'intégrer Bitcoin ressemblaient à un commerçant anglophone qui insiste pour faire des affaires dans une tribu ancienne. Où est le problème ? Ethereum utilise un modèle de compte, tandis que Bitcoin utilise un modèle UTXO. Cette "barrière linguistique" dans la communication inter-chaînes ne peut être maintenue que par un relais centralisé, ce qui présente des vulnérabilités évidentes.

Le véritable atout d'APRO réside dans sa "nativeness Bitcoin". Il ne construit pas une passerelle extérieure, mais utilise des protocoles de staking à distance comme Babylon pour ancrer la sécurité de Bitcoin directement dans le nœud oracle. En d'autres termes, chaque fois qu'APRO pousse des données, il y a derrière un BTC réel qui fournit une garantie économique. Cette conception change radicalement le modèle de confiance des oracles.