Continuer à discuter de ce sujet, APRO a en réalité déjà atteint un carrefour difficile à contourner.
Les discussions précédentes pouvaient tourner autour de savoir si la direction était correcte ou si la conception était incomplète. Mais ce n’est plus le cas maintenant. La question est devenue très simple, mais aussi très cruelle : APRO peut-il devenir une option intégrée au système, plutôt qu’un accessoire en plus ?
Ce n’est pas une question d’émotion, ni de choisir un camp. C’est une étape incontournable que doit franchir tout projet d’infrastructure.
Comment beaucoup de projets ont-ils échoué ? En échouant là où tout semblait logique.
Logiquement cohérents, avec des solutions réalisables, et effectivement utilisés. Mais ils n’ont jamais été « indispensables » au point d’être irremplaçables. C’est le destin d’une solution raisonnable — elle peut être remplacée, il suffit que ce soit le bon moment. Mais une véritable infrastructure est différente. Une fois le chemin tracé, tout le reste doit suivre cette voie. C’est ce qu’on appelle la dépendance au chemin ().
Le vrai champ de bataille d’APRO aujourd’hui ne se trouve pas au niveau de l’application, ni dans la relance par le marketing. La clé réside dans la conception.
La question est : y a-t-il des projets qui, dès la phase initiale d’architecture, considèrent la structure de données, la logique de validation, et le modèle de calcul d’APRO comme des prérequis ? Y a-t-il d’autres protocoles qui, en établissant leurs normes, se basent directement sur la solution d’APRO ?
C’est cela qui fait la différence.
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YieldWhisperer
· Il y a 13h
En gros, c'est voir si on peut bloquer la position, si on ne peut pas, on attend simplement la fin.
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NFTRegretful
· Il y a 14h
En résumé, APRO n'est pas encore standardisé.
Ce qui compte vraiment, c'est la compétition sur la définition des normes par d'autres protocoles, sinon ce n'est qu'une simple optimisation.
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MemeTokenGenius
· Il y a 14h
En résumé, APRO doit devenir une nécessité, pas une option
Ce qui compte, c'est d'être adopté activement par d'autres protocoles pour gagner. On attend encore
La théorie de la dépendance au chemin a touché le point, mais la question clé est qui se positionnera en premier.
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On-ChainDiver
· Il y a 14h
En résumé, il faut s'approprier la gorge de l'écosystème.
Il y a beaucoup de bonnes propositions, mais au final, elles deviennent toutes de la poussière dans l'histoire.
APRO doit soit devenir une norme, soit attendre d'être écrasé par une solution plus radicale.
C'est ça, la survie du plus apte.
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SmartMoneyWallet
· Il y a 14h
La notion de dépendance au chemin peut sembler sophistiquée, mais en réalité, il s'agit de vérifier si le protocole est réellement adopté au niveau de la chaîne. Avoir simplement des utilisateurs ne suffit pas.
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StableBoi
· Il y a 14h
La dépendance au chemin est bien expliquée, mais l'APRO peut-il vraiment bloquer les concurrents ultérieurs, ou s'agit-il simplement d'un biais de survivant qui joue en faveur de certains ?
Continuer à discuter de ce sujet, APRO a en réalité déjà atteint un carrefour difficile à contourner.
Les discussions précédentes pouvaient tourner autour de savoir si la direction était correcte ou si la conception était incomplète. Mais ce n’est plus le cas maintenant. La question est devenue très simple, mais aussi très cruelle : APRO peut-il devenir une option intégrée au système, plutôt qu’un accessoire en plus ?
Ce n’est pas une question d’émotion, ni de choisir un camp. C’est une étape incontournable que doit franchir tout projet d’infrastructure.
Comment beaucoup de projets ont-ils échoué ? En échouant là où tout semblait logique.
Logiquement cohérents, avec des solutions réalisables, et effectivement utilisés. Mais ils n’ont jamais été « indispensables » au point d’être irremplaçables. C’est le destin d’une solution raisonnable — elle peut être remplacée, il suffit que ce soit le bon moment. Mais une véritable infrastructure est différente. Une fois le chemin tracé, tout le reste doit suivre cette voie. C’est ce qu’on appelle la dépendance au chemin ().
Le vrai champ de bataille d’APRO aujourd’hui ne se trouve pas au niveau de l’application, ni dans la relance par le marketing. La clé réside dans la conception.
La question est : y a-t-il des projets qui, dès la phase initiale d’architecture, considèrent la structure de données, la logique de validation, et le modèle de calcul d’APRO comme des prérequis ? Y a-t-il d’autres protocoles qui, en établissant leurs normes, se basent directement sur la solution d’APRO ?
C’est cela qui fait la différence.