Des documents internes révèlent une projection alarmante : Meta anticipait qu’environ 10 % de ses revenus publicitaires en 2024 proviendraient de scams et de produits interdits. Cette divulgation soulève de graves questions sur la responsabilité des plateformes dans l’écosystème de la publicité numérique.
Les documents divulgués suggèrent un niveau de tolérance préoccupant envers le contenu frauduleux — un chiffre qui, s’il est exact, représente des milliards de dollars de revenus liés à des annonces potentiellement nuisibles. Pour l’espace crypto et Web3, cela touche de près. Les publicités frauduleuses promouvant de fausses ventes de tokens, les schemes de phishing et les plateformes d’investissement frauduleuses ont envahi les réseaux sociaux depuis des années.
Ce qui est particulièrement inquiétant, c’est la conscience apparente. Si une grande entreprise technologique peut prévoir ses revenus issus de scams avec une telle précision, cela indique des problèmes systémiques dans la modération de contenu et le processus d’approbation des annonces. Ce n’est pas seulement un problème de Meta — cela reflète des défis plus larges auxquels font face les plateformes qui monétisent l’attention des utilisateurs tout en ayant du mal à lutter contre les acteurs malveillants.
Pour les utilisateurs de crypto, la leçon reste la même : tout vérifier. Aucune plateforme légitime ne demande une action urgente via des publicités sur les réseaux sociaux. Restez sceptiques, vérifiez les URL, et rappelez-vous que si une offre semble trop belle pour être vraie, c’est probablement le cas.
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AirdropHunter007
· 11-06 12:59
Même le métaverse devient aussi compétitif
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RektRecorder
· 11-06 12:55
Encore un lait quotidien, je meurs de rire.
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StableNomad
· 11-06 12:47
Statistiquement parlant... Meta intègre simplement leur tolérance au risque comme n'importe quel protocole DeFi, pour être honnête.
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AirdropHunterKing
· 11-06 12:42
Attendre que les pigeons se fassent prendre pour des cons.
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AirdropHunter420
· 11-06 12:38
prendre les gens pour des idiots une fois et vous avez gagné !
Des documents internes révèlent une projection alarmante : Meta anticipait qu’environ 10 % de ses revenus publicitaires en 2024 proviendraient de scams et de produits interdits. Cette divulgation soulève de graves questions sur la responsabilité des plateformes dans l’écosystème de la publicité numérique.
Les documents divulgués suggèrent un niveau de tolérance préoccupant envers le contenu frauduleux — un chiffre qui, s’il est exact, représente des milliards de dollars de revenus liés à des annonces potentiellement nuisibles. Pour l’espace crypto et Web3, cela touche de près. Les publicités frauduleuses promouvant de fausses ventes de tokens, les schemes de phishing et les plateformes d’investissement frauduleuses ont envahi les réseaux sociaux depuis des années.
Ce qui est particulièrement inquiétant, c’est la conscience apparente. Si une grande entreprise technologique peut prévoir ses revenus issus de scams avec une telle précision, cela indique des problèmes systémiques dans la modération de contenu et le processus d’approbation des annonces. Ce n’est pas seulement un problème de Meta — cela reflète des défis plus larges auxquels font face les plateformes qui monétisent l’attention des utilisateurs tout en ayant du mal à lutter contre les acteurs malveillants.
Pour les utilisateurs de crypto, la leçon reste la même : tout vérifier. Aucune plateforme légitime ne demande une action urgente via des publicités sur les réseaux sociaux. Restez sceptiques, vérifiez les URL, et rappelez-vous que si une offre semble trop belle pour être vraie, c’est probablement le cas.